Première partie : M.I.A
La chanson Brennið Þið Vitar jouée par les Wonderbrass a notamment inspiré les arrangements des choeurs masculins de Where is the line.
Les cuivres sont solennels et se dandinent. Les ombres, assez chinoises. Les nappes très sonores et parfois les effets électro ont des airs de grillons mugissants. Björk esquisse un entrechat, trépigne, court à cheval ou fonce comme une dératée. L’enclumeur donne toute sa mesure. Trois briquets éclopés de Woodstock ne tiennent pas la route face aux portables. Le corps est assez secoué. Ça tient de la fête foraine et de Charles Ives amplifié.
Björk embrase les arènes de Nîmes, Le Monde